Tous contacts physiques entre 2
partenaires, qu’ils soient tactiles ou buccaux sont libérateur
d’hormones, lesquelles apportent à la fois équilibre et bonheur. Il
ne saurait être question de s’en passer.
Ces hormones, les endorphines sont
des substances semblables à la morphine, antagonistes de
l’adrénaline.
Elles procurent bien-être et
sérénité, tandis que leur absence conduit à la souffrance psychique.
Elles éveillent en vous un sentiment
psychophysique de chaleur et de sécurité provoqué par des relations
intimes caressantes.
Par l’expérience de la caresse, nous
recherchons à revivre notre première expérience tactile d’avec notre
mère.
Ce petit ouvrage a été rédigé afin de
vous offrir les conseils indispensables pour libérer de façon
optimale la force de rayonnement qui émane naturellement de tout
votre être, et vous apprendre à l’utiliser au maximum pour un
plaisir partagé.
Si le besoin de toucher et d’être
touché est intense, notre civilisation ne permet de le faire
totalement que dans une seule circonstance : les rapports conjugaux.
Quiconque manque de caresses et de
baisers voit ses sensations s’étioler, se renferme sur lui-même et
perd sa chaleur émotionnelle ainsi que sa sensualité.
Nous n’aborderons pas ici l’acte
sexuel à proprement parler, qui n’apporte de totale satisfaction,
que s’il est accompagné d’une tendresse, trop souvent oubliée.
Certes, la sexualité est apte à
libérer les tensions liées à la libido, mais non pas à procurer
l’harmonie hormonale, composante tout aussi importante lors des
rapports physiques entre 2 êtres que l’est l’orgasme en lui-même. |